L’hôpital de Dieppe modernise ses bâtiments, mais aussi son matériel. La Structure mobile d’urgence et de réanimation (Smur) s’est équipée d’une nouvelle voiture totalement aménagée pour intervenir à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Le parc automobile de l’hôpital de Dieppe s’élève maintenant à cinq véhicules. Le plus ancien est affecté au service d’urgence d’un éventuel plan Organisation de la réponse de sécurité civile (Orsec) qui est moins utilisée. « Il faut ajouter à cela les deux ambulances situées à l’hôpital d’Eu, également gérées par le service du Dr David Gérault, responsable Smur », explique le Dr Valérie Massol, chef du service des urgences.
Une check-list à respecter
Durant l’année 2013 à Dieppe, plus de 1 400 sorties ont été effectuées. C’est un chiffre stable par rapport aux années précédentes. « Ce sont des interventions de première urgence. Nous nous rendons le plus rapidement possible sur le lieu qui nous a été indiqué par la centrale du 15 à Rouen. L’équipe est toujours prête à monter dans l’ambulance. Il existe une sonnerie très particulière que tout le monde connaît dans l’enceinte de l’hôpital. Dès que nous déclenchons les « bip », le personnel désigné pour l’intervention est averti. Tout le temps que nous gagnons avant le départ est essentiel pour sauver la vie des gens », continue le Dr David Gérault.
Pour cela, les véhicules sont sans cesse vérifiés et le matériel qu’il contient est contrôlé. « Chacun doit suivre un protocole très strict, poursuit, à son tour, le Dr Valérie Massol. Nous suivons une check-list, un peu comme dans l’aéronautique. Il n’est pas question de se rendre à 50 km de l’hôpital et de s’apercevoir qu’il manque un médicament. Tout est consigné dans le registre. Dès qu’une alerte est lancée, l’ambulancier peut partir sans se soucier d’un éventuel oubli. En matière médicale, aucune erreur n’est permise. »
Environ 250 kg de matériel médical sont rangés avec minutie dans les caissons aménagés à l’arrière du véhicule. « Nous avons défini notre propre code de couleur : rouge pour les opérations sanguines, bleu pour la respiration, orange pour la pédiatrie. Nous avons même un réfrigérateur entre les sièges afin de conserver des médicaments. »
Le matériel servant aux urgences médicales est entreposé et protégé dans le garage situé sous l’hélistation, inaugurée en mars 2012. Le médecin veille, au retour d’une mission, à ce qu’il ne manque rien dans les sacs à dos.
L’ambulancier vérifie l’état des véhicules et signale le moindre incident sur un livre de bord. Ils sont régulièrement contrôlés, éliminant au maximum la défaillance mécanique. « Avec la charge à l’intérieur, les pièces comme les freins sont davantage sollicités. Nous changeons régulièrement les pneumatiques avant qu’ils ne soient trop usés. Nous avons chaussé les voitures avec des pneus neige. »
Une check-list à respecter
Durant l’année 2013 à Dieppe, plus de 1 400 sorties ont été effectuées. C’est un chiffre stable par rapport aux années précédentes. « Ce sont des interventions de première urgence. Nous nous rendons le plus rapidement possible sur le lieu qui nous a été indiqué par la centrale du 15 à Rouen. L’équipe est toujours prête à monter dans l’ambulance. Il existe une sonnerie très particulière que tout le monde connaît dans l’enceinte de l’hôpital. Dès que nous déclenchons les « bip », le personnel désigné pour l’intervention est averti. Tout le temps que nous gagnons avant le départ est essentiel pour sauver la vie des gens », continue le Dr David Gérault.
Pour cela, les véhicules sont sans cesse vérifiés et le matériel qu’il contient est contrôlé. « Chacun doit suivre un protocole très strict, poursuit, à son tour, le Dr Valérie Massol. Nous suivons une check-list, un peu comme dans l’aéronautique. Il n’est pas question de se rendre à 50 km de l’hôpital et de s’apercevoir qu’il manque un médicament. Tout est consigné dans le registre. Dès qu’une alerte est lancée, l’ambulancier peut partir sans se soucier d’un éventuel oubli. En matière médicale, aucune erreur n’est permise. »
Environ 250 kg de matériel médical sont rangés avec minutie dans les caissons aménagés à l’arrière du véhicule. « Nous avons défini notre propre code de couleur : rouge pour les opérations sanguines, bleu pour la respiration, orange pour la pédiatrie. Nous avons même un réfrigérateur entre les sièges afin de conserver des médicaments. »
Le matériel servant aux urgences médicales est entreposé et protégé dans le garage situé sous l’hélistation, inaugurée en mars 2012. Le médecin veille, au retour d’une mission, à ce qu’il ne manque rien dans les sacs à dos.
L’ambulancier vérifie l’état des véhicules et signale le moindre incident sur un livre de bord. Ils sont régulièrement contrôlés, éliminant au maximum la défaillance mécanique. « Avec la charge à l’intérieur, les pièces comme les freins sont davantage sollicités. Nous changeons régulièrement les pneumatiques avant qu’ils ne soient trop usés. Nous avons chaussé les voitures avec des pneus neige. »
Source : www.paris-normandie.fr
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