Crédit Photo : ANISP |
La SFAR a pris connaissance de l’amendement déposé par le Professeur Jean-Louis Touraine, puis voté par l’Assemblée Nationale le 19 mars avec le soutien du gouvernement, selon lequel toute personne n’ayant pas au préalable inscrit son nom sur un registre informatisé national des refus de don d’organes, pourrait être prélevée de ses organes en cas de mort encéphalique sans concertation avec les proches.
Cette modification législative voudrait servir le but de faciliter le don d’organes et ainsi augmenter le nombre de greffons, tant sont nombreux les patients en attente de greffes.
Cette intention, aussi sensée puisse-t-elle sembler de prime abord, apparaît pourtant inopportune et irréaliste pour qui connaît la réalité du terrain.
Plus encore, cette modification législative, mise en place en dehors des principes fondateurs des révisions des lois de bioéthique, est dangereuse à plusieurs égards.
Source :SFAR
Cette modification législative voudrait servir le but de faciliter le don d’organes et ainsi augmenter le nombre de greffons, tant sont nombreux les patients en attente de greffes.
Cette intention, aussi sensée puisse-t-elle sembler de prime abord, apparaît pourtant inopportune et irréaliste pour qui connaît la réalité du terrain.
Plus encore, cette modification législative, mise en place en dehors des principes fondateurs des révisions des lois de bioéthique, est dangereuse à plusieurs égards.
Source :SFAR
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